Angleterre, 18 juin 2010

Départ de notre école le 18 juin à 5h 30 du matin. Un peu de stress, 2 copains manquent à l'appel. Heureusement, ils arrivent à 5h 35, l'angoisse de rater le bateau disparaît...

Ouistreham, gare maritime : notre chauffeur Cyril prend la file d'embarquement.

Nous allons attendre à la gare maritime et la maîtresse s'occupe des formalités de douane.

  Une fois à bord et après avoir quitté le port, nous obtenons l'autorisation du commandant de visiter la passerelle, c'est à dire sa cabine de pilotage.

Lorsque la bateau est sorti du port, le commandant enclenche le pilote automatique et il ne reprend les commandes que si le temps est mauvais ou bien à l'arrivée à l'île de Wight, un peu avant Portsmouth.

Voilà le bel uniforme de notre commandant, quant à nous, nous garderons nos gilets jaunes à chaque sortie, c'est notre couleur de rappel pour la maîtresse qui ne veut pas nous perdre !

Le Normandie vogue à 20 noeuds (environ 50 km/h), nous croisons le Normandie express qui lui vogue à 40 noeuds, c'est à dire qu'il ne met que 3 h à faire la traversée entre Portsmouth et Ouistreham, pour nous cela va durer 6h !

Notre ferry peut embarquer 2123 passagers et 600 véhicules. de la passerelle, le commandant peut visionner tous les ponts où sont garés les camions, les cars et les voitures ainsi que les motos...

Là, nous sommes au bout de la passerelle, c'est l'endroit qui ressort un peu du bateau et qui permet au commandant de voir si il n'y a aucun obstacle lorsqu'il veut arrimer son ferry dans le port.

Le tableau électrique qui détermine s'il y a des incidents ou un début d'incendie ainsi que les commandes du navire.

Au début, tout va bien, personne n'est malade, la mer est d'huile, toute calme donc... Mais au bout d'une heure, pour certains, le mal de mer s'installe !!!

Heureusement, les jeux organisés sur le bateau vont nous donner l'impression que le temps passe trop vite.

Arnaud se bat avec un puzzle des Simpsons...

Faustine et Benjamin vont devoir reconnaître des titres de chansons...

Là, Guillaume va s'éclater avec une course de chevaux, il ne doit perdre ni sa cravache, ni sa casquette tout en allant le plus vite possible avec son cheval "sauteur" et en évitant les obstacles.

Détente sur le pont, nous apercevons les côtes de l'île de Wight...

Temps magnifique à notre arrivée en Angleterre!!!

Voilà les belles plages de sable fin de Portsmouth.

Nous avons retrouvé la terre ferme et Cyril qui nous emmène directement sur le "Historic Dockyard".

Nous découvrons d'abord le Mary Rose mais c'est surtout le HSM Victory qui nous intéresse, c'est à dire le bateau de l'amiral Nelson.

En 1805, Nelson devint célèbre en remportant la bataille de Trafalgar contre Napoléon Bonaparte et la flotte franco - espagnole. Mais il y perdit la vie. On raconte que son équipage ramena son corps en Angleterre dans un baril d'eau de vie  afin de le conserver jusqu'à ce qu'il puisse être enterré en terre anglaise.

Après cette bataille décisive de l'amiral Nelson, les Anglais obtinrent la maîtrise des mers. Aucun pays ne réussit à être plus puissant qu'eux jusqu'à la 1ère guerre mondiale.

A 3h, nous avons rendez-vous à la maison natale de Charles Dickens. C'est une toute petite maison sur 3 étages.

 

Elle est si basse que la tête du guide anglais qui est à l'entrée touche le plafond... A la fin de sa journée de travail, il doit être content de sortir !!

 Voici le lit dans lequel est né Charles Dickens. A cette époque, on n'accouchait pas à l'hôpital mais à la maison. Pas d'eau courante, les domestiques allaient chercher l'eau qu'ils faisaient chauffer en bas dans la cuisine, près de la cheminée.

Fin de notre première journée..

Nous allons bientôt découvrir le lieu de notre hébergement, il nous reste 1h 30 de car...

Notre auberge est située à Burley, au coeur de la New Forest, au milieu des chevaux sauvages !

Comments

[nadira]

c'était trop bien surtout avec les copines j'ai adorer se voyage